AHN YEJUN
Surname : Ahn
Given name : Yejun
DOB : 01/09/199X Age : 22
POB : Seoul/South Korea
Sex : M Eyes : Brown Height : 179
L'environnement dans lequel on grandit est toujours important, et peut nous affecter de plus d'une façon. Yejun n'avait jamais eut le meilleur exemple.
Dans sa petite famille de deux, il n'avait jamais vraiment pu compter sur sa mère, celle-ci semblant toujours se jeter dans des situations qu'elle ne pouvait supporter. Que ce soit les choix de ses partenaires, ses décisions de noyer son chagrin dans l'alcool ou sa négligence vers un enfant qu'elle tenait pourtant à cœur, tout faisait d'elle une mère misérable.
Yejun avait conséquemment apprit à être son propre parent, plus ou moins celui de sa propre mère aussi.
Le manque de figure paternelle l'avait peut-être dérangé au cours de son enfance, mais il avait dut s'y adapter. Il ne pouvait vraiment blâmer sa mère, il savait qu'elle le faisait déjà elle-même, plus qu'elle ne devrait. C'était bien pour cette raison qu'il se retrouvait à s'occuper d'elle dès qu'il en avait le temps.
"I know how these things work out,
fun to believe,
but they always leave"
HE | HIM
GAY
INDEPENDENT
CONFIDENT
BUSINESS STUDENT
ART HOE
Yejun avait grandit en une personne totalement capable et indépendante, il n'avait jamais besoin de personne pour quoique ce soit. Prudent, il avait même une tendance à rejeter n'importe quelle main qui lui était tendue, ayant déjà vu les conséquences où une confiance mal placée pourrait conduire.
Ses priorités étaient assez directes : ses études, sa mère et lui-même. Yejun n'avait ni l'envie, ni la confiance nécessaire pour accorder son temps à une amitié, pire encore une amourette. Chacune de ses histoires se limitait à des connaissances ou des coup d'un soir.
C'était peut-être un choix particulier, et il devait avouer qu'il enviait parfois les personnages des histoires qu'il lisait, capables de se connecter avec n'importe qui. ça lui donnait presque envie d'être audacieux, de tenter de quitter sa solitude mais à la fin de chaque livre, il se souvenait de la raison pour laquelle il l'avait choisit de base : les fins heureuses n'existaient que dans l'imaginaire.